Le livre des solutions, ou pas…

J’ai vu le film de Michel Gondry, il m’a fallu quelques secondes de pub, pour sourire et me dire, il est bipolaire lui.

Je n’ai pas dit cela avec un ton moqueur, ni méprisant, et je voulais vérifier si mon analyse assez, peut-être trop, rapide était juste. J’ai bien évidemment mis dans le mille, à force, j’ai compris les symptômes et je me trompe rarement.

Après le visionnage de ce film excellent, oui je répète excellent, j’ai commencé à faire des recherches, car le trouble bipolaire n’est pas évoqué de manière explicite. Après quelques clics, ici et là, je suis tombée sur un article de France Inter que vous pouvez retrouver en cliquant sur le lien suivant.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/le-livre-des-solutions-de-michel-gondry-un-film-laborieux-qu-on-ne-voit-pas-sans-deplaisir-selon-le-masque-6423556

Le titre me donne déjà de l’urticaire, rien qu’avec les mots « laborieux » et « déplaisir », mais passons.

Petite entrée en matière avec ce paragraphe :

Dans son nouveau film, Michel Gondry partage une comédie autobiographique, où il calque sa propre bipolarité sur son double interprété par Pierre Niney. Un alter-ego qui rend compte de son hyperactivité et de ses névroses qu’il assume ici totalement à l’écran, mais qui peine à convaincre Le Masque.

Nous y sommes, les mots à retenir son « autobiographique », « bipolarité », « hyperactivité » et « névroses », j’aime aussi particulièrement « assume ». Le mot bipolarité est présent et consolide mon premier avis.

Nous laisseront délibérément l’expression « qui peine à convaincre » de côté, je vous expliquerai plus tard pourquoi.

Je continue ma lecture de l’article, c’est un déversoir de moqueries, de jugements, de mots utilisés à tort et à travers, et beaucoup de mépris. J’ai écouté l’audio, leurs voix et leurs rires, accentuent leur sarcasme jusqu’à ce que le vrai sujet soit remis en avant par Charlotte Lipinska, la bipolarité, merci madame, pour votre intervention éclairée. Mais à la fin, la moquerie suprême d’Eric Neuhoff « je ne sais pas s’il a repris son traitement … mais il faut changer le dosage, mais çà ne va pas du tout, il doit porter plainte contre son médecin » avec son rire et ceux du public je pense, c’est juste odieux et insoutenable.

Je vous laisse lire les critiques reprises de l’article pour mieux comprendre, sachant que l’audio est finalement plus intéressant car la vraie nature des gens n’est pas coupée.

Pour Pierre Murat, c’est un film… sympatoche

Le critique cinéma pour Télérama aurait très bien pu se passer de ce film dans lequel il ne sauve que le rôle de Françoise Lebrun : « On passe 1h42 avec un type odieux, et sympa en même temps. Un film qu’on voit sans déplaisir, mais la seule interprète qui m’ait vraiment plu, c’est Françoise Lebrun, toujours aussi formidable, absolument magnifique et gracieuse ici. Heureusement qu’elle est là ».

Xavier Leherpeur irrité par un film qu’il juge hystérique et laborieux

Le journaliste pour 9e Obsession ne cache pas l’ennui qu’il a ressenti face à la frénésie scénaristique de Michel Gondry qui, selon lui, ne suffit pas à faire un bon film : « C’est sympatoche sur le papier quand on rappelle deux ou trois gags qui font sourire, mais au bout de 1h42, on a le temps de comprendre et de constater que le film est très laborieux. Il y a une telle peur non pas de la page blanche, mais de l’image vierge chez Michel Gondry qu’il sature d’idées qui ne sont pas toutes excellentes. Il y a un moment où cette espèce d’hystérie constante de créativité jouée par Pierre Niney fait qu’on a l’impression qu’il n’a jamais vraiment d’idées en tête quand il fait son film. Il y a du bricolage, c’est assez savoureux et en même temps, ça ne fait jamais un film. Il m’a régulièrement débarqué à force de vouloir prouver des choses insolites dont on se fout un tout petit peu ».

Charlotte Lipinska sauve malgré tout un film qu’elle juge courageux et drôle

La critique pour Vogue admet ne pas avoir été insensible à la mise à nu du cinéaste qui se met en scène un très grand courage : « C’est lui-même qu’il nous raconte dans ce nouveau film puisqu’il est véritablement parti chez sa tante Suzette, et le film est tourné dans la maison de sa tante, avec ce double incarné par Pierre Niney, caractériel, odieux, paranoïaque, ce qui donne des scènes assez drôles et cocasses. Si ça reste assez long, c’est assez courageux de la part de ce réalisateur qui a une carrière complètement en dents de scie, d’expliquer pourquoi il a été si ingérable pendant tant d’années avec des idées (certes certaines moins drôles que d’autres). Mais la scène où il dirige avec son corps un orchestre parce qu’il ne sait pas lire la musique, c’est ce que Michel Gondry a réellement fait sur « L’écume des jours », c’est quand même très drôle ».

Pour Eric Neuhoff, ce film est un ratage complet

Si Michel Gondry a réalisé un excellent film, c’est loin d’être celui-là d’après le critique du Figaro, qui a même failli s’endormir durant la séance : « C’est un ratage complet, le film n’a aucun intérêt. Ses idées ne sont pas bonnes. Le pauvre Pierre Niney fait ce qu’il peut avec ce personnage. Son hommage à son entourage, ok, mais qu’il fasse cela chez lui un samedi soir avec son album photos. On se dit que les producteurs ont eu raison de l’interrompre, de lui dire d’aller dans les Cévennes. En plus, on n’y comprend rien. À un moment, il montre son film en public et tout le monde dort dans la salle, j’avoue que c’était un peu mon cas ».

Pour revenir à ma propre critique de ce film, je trouve ce film excellent et l’un des meilleurs que j’ai vu sur ce thème, je suis en admiration sur la mise en scène, et le jeu de tous les acteurs, pas que de celui de Françoise Lebrun comme évoqué par Pierre Murat.

Je ne vais pas tout décortiquer, mais juste mettre en avant quelques points qui ont été raillés précédemment en les reprenant un par un.

Pour Pierre Murat, c’est un film… sympatoche

Le critique cinéma pour Télérama aurait très bien pu se passer de ce film dans lequel il ne sauve que le rôle de Françoise Lebrun : « On passe 1h42 avec un type odieux, et sympa en même temps. Un film qu’on voit sans déplaisir, mais la seule interprète qui m’ait vraiment plu, c’est Françoise Lebrun, toujours aussi formidable, absolument magnifique et gracieuse ici. Heureusement qu’elle est là »

« Sympatoche », je dirais plutôt plaisant, émouvant, et informatif qui demande à être apprécié avec bienveillance, car Gondry assume dans ce film de mettre en avant une maladie psychique chronique responsable de dérèglements de l’humeur qu’il subit personnellement. Donc le « qui peine à convaincre Le Masque » on s’en fiche royalement. Ce film doit être vu comme une envie de dévoiler une souffrance, une confession sur de l’intime, et une déstigmatisation des troubles psychiques. Tous les commentaires de la joyeuse troupe de lourdingues ont complétement loupé voire on détruit le message d’origine du film, pas merci.

Le type « odieux » et sympa en même temps, c’est justement le grand écart des humeurs, ce n’est pas odieux mais irritable qu’il faut utiliser, un peu comme une allumette qui s’embrase même avec de l’eau. En phase maniaque, la vitesse de réflexion et de créativité est si importante qu’il n’admet pas pourquoi les autres ne s’investissent pas autant que lui, ou ne comprennent pas ses idées, ce qui peut exacerber ses réactions, dont on ne doit pas cautionner, quand cela entraine de la violence physique ou psychique. Mais voilà un des symptômes qui est évoqué sans être expliqué.

Le rôle de Françoise Lebrun qui est décrit comme « formidable, absolument magnifique et gracieuse » montre surtout de la compréhension, de l’intelligence, de l’empathie et de la bienveillance envers le personnage principal. Pourquoi à votre avis ? Parce qu’elle sait qu’il est malade, elle sait de quoi il souffre, alors elle a appris à l’apaiser, à lui parler avec respect, à le canaliser, à le raisonner. Son personnage m’a marquée aussi, car il faudrait plus de personnes bienveillantes comme elle autour des personnes malades. Elles seraient plus vite enclin à se soigner, à s’accepter, se pardonner, et ne pas se sentir comme des parias.

Niney est sublime dans son rôle, il a su interpréter avec justesse et élégance, ce tourbillon d’idées, de prise de conscience qu’il jouait avec le feu en arrêtant ses médicaments, ce cataclysme qu’il était entrain de créer. Mais aussi, cette volonté irrépressible de réussir que cela engendre, et ces challenges tous plus fous les uns que les autres aux yeux des autres, mais normaux, voire réalistes et nécessaires pour vivre pleinement, et créer ce qu’il a en tête.

Les autres comédiens suivent le mouvement car il sait fédérer, par sa bonne humeur, ses idées poétiques, et le rôle de chacun donne une place importante, au projet de film, ce qu’il attend d’eux et aussi le relationnel que cela occasionne au fil du temps. Croire démesurément en soi et aux autres, en qui on a placé toute sa confiance, limite sa vie. Donc leurs rôles sont primordiaux et nécessaires à la compréhension de la bipolarité.

Il y a ceux qui suivent aveuglément, ceux qui commencent à dire que çà suffit, ceux qui commencent à avoir peur de la personne, et ceux qui dosent avec tout pour l’accompagner malgré les doutes.

Xavier Leherpeur irrité par un film qu’il juge hystérique et laborieux

Le journaliste pour 9e Obsession ne cache pas l’ennui qu’il a ressenti face à la frénésie scénaristique de Michel Gondry qui, selon lui, ne suffit pas à faire un bon film : « C’est sympatoche sur le papier quand on rappelle deux ou trois gags qui font sourire, mais au bout de 1h42, on a le temps de comprendre et de constater que le film est très laborieux. Il y a une telle peur non pas de la page blanche, mais de l’image vierge chez Michel Gondry qu’il sature d’idées qui ne sont pas toutes excellentes. Il y a un moment où cette espèce d’hystérie constante de créativité jouée par Pierre Niney fait qu’on a l’impression qu’il n’a jamais vraiment d’idées en tête quand il fait son film. Il y a du bricolage, c’est assez savoureux et en même temps, ça ne fait jamais un film. Il m’a régulièrement débarqué à force de vouloir prouver des choses insolites dont on se fout un tout petit peu ».

Pour continuer notre analyse, je reprendrai la citation « le film est laborieux », il ne l’est pas, c’est dans la tête du personnage que c’est laborieux, et justement le film l’explique très bien. Comment peut-on critiquer un film avec des termes qui expliquent parfaitement l’état psychique de l’individu. Les gars, vous critiquez quelque chose qui est limpide et rondement mené pour vous faire découvrir le cerveau d’un bipolaire. Documentez-vous et regardez le film à nouveau, vous verrez qui n’y a pas plus abouti comme scénario, bienvenue dans la tête de Michel Gondry. Cela ne vous plait pas et reste difficile à comprendre, pourtant il vous a mâché tout le travail pour que ce film soit à la portée de tous, et que vous puissiez réaliser le bordel ambiant qu’il vit en phase maniaque. Il sature, exactement, tout fuse, même lui ne sait pas quoi faire de ses idées, de ses projets, laissés en suspens, puis repris. Il s’investit dans tout et rien en même temps, et pourtant il finalise en cacophonie ses projets démesurés, ces petits projets plus relaxants comme son renard. La machine infernale s’est mise en route et vous la subissait, mais lui l’explique très bien, et le filme très bien, vous êtes paumés, que devrait-il dire ?

Ce qui vous parait insolite, est pour lui logique, il entremêle des idées, des symbolismes, qu’il pense très pertinent, il essaie de vous faire voir, que dans ces choses insolites dont vous vous foutez un tout petit peu, lui il y voit des lignes directrices sur lesquelles s’appuyer pour avancer, pour trouver des solutions à ses problèmes qui en plus de le stresser le rendent parano. Vous ne réalisez pas l’ampleur du bazar, tant mieux pour vous, et c’est ce qu’il veut aussi démontrer, il vous envie de ne pas partir dans ce système de pensées envahissantes, destructrices et énergivores, voilà à quoi vous échappez les amis. Et çà fait un film, il faut un film long pour expliquer tout cela, je peux vous dire que vu la structuration, il était en phase stable pour pouvoir tout bien retranscrire aussi fidèlement, je dis ça je dis rien. Pour finir le terme hystérie n’est pas approprié aussi, mais préférez plutôt euphorie, exaltée.

Charlotte Lipinska sauve malgré tout un film qu’elle juge courageux et drôle

La critique pour Vogue admet ne pas avoir été insensible à la mise à nu du cinéaste qui se met en scène un très grand courage : « C’est lui-même qu’il nous raconte dans ce nouveau film puisqu’il est véritablement parti chez sa tante Suzette, et le film est tourné dans la maison de sa tante, avec ce double incarné par Pierre Niney, caractériel, odieux, paranoïaque, ce qui donne des scènes assez drôles et cocasses. Si ça reste assez long, c’est assez courageux de la part de ce réalisateur qui a une carrière complètement en dents de scie, d’expliquer pourquoi il a été si ingérable pendant tant d’années avec des idées (certes certaines moins drôles que d’autres). Mais la scène où il dirige avec son corps un orchestre parce qu’il ne sait pas lire la musique, c’est ce que Michel Gondry a réellement fait sur « L’écume des jours », c’est quand même très drôle ».

Comme je l’ai exprimé plus haut, merci à Charlotte Lipinska de rétablir l’équilibre des critiques, en évoquant que ce film est autobiographique et que Michel Gondry a eu du courage de parler ouvertement de sa bipolarité. Dans l’audio, à ce moment précis on entend, des « ha bon !!! » « mais, je ne savais pas !!! » Elle a recadré le film dans ce qu’il est, un film « documentaire » sur cette pathologie, sur une période de sa vie qui a été pénible, qu’il était en rupture de traitement occasionnant un raz-de-marée émotionnel, un tsunami d’idées, le noyant progressivement. Que sa carrière a été impactée par cette maladie, et qu’il essaie de faire comprendre (peut-être de se faire pardonner) pourquoi « il a été ingérable pendant tant d’années ». Le ton, un peu agacé, de Charlotte Lipinska défendant le réalisateur et ses films avec bienveillance a été pour moi la meilleure partie de cet audio. Même si je trouve son intervention courte, elle est la plus pertinente, et à parler de ses autres films pour redonner à Gondry sa place de réalisateur, certes atteint d’une maladie psychique, mais de réalisateur talentueux et non plus de souffre douleur.

Le trouble bipolaire fonctionnant en cycle, il est difficile de savoir quand ils vont arriver et quelles seront les conséquences, si ce n’est que quand il ne va pas bien « il est déprimé le matin, manipulé l’après-midi » comme il le dit si justement dans le film. Vous pouvez bien réaliser qu’il est compliqué de garder une stabilité émotionnelle qui jouent un peu, beaucoup, avec ses nerfs, et que par répercussion il y aura un impact dans toutes les sphères, pros et persos. Rappeler le petit passage, où il est se comporte comme un hurluberlu devant les musiciens et tiré d’un instant vrai lors du tournage « l’écume des jours » permet de resituer tout çà et de donner de la valeur au film en tant que témoignage authentique.

Merci vraiment à elle pour son intervention, elle a apaisé mon cœur juste avant le coup de grâce d’Eric Neuhoff, qui a été lui odieux et irrévérencieux au possible.

Pour Eric Neuhoff, ce film est un ratage complet

Si Michel Gondry a réalisé un excellent film, c’est loin d’être celui-là d’après le critique du Figaro, qui a même failli s’endormir durant la séance : « C’est un ratage complet, le film n’a aucun intérêt. Ses idées ne sont pas bonnes. Le pauvre Pierre Niney fait ce qu’il peut avec ce personnage. Son hommage à son entourage, ok, mais qu’il fasse cela chez lui un samedi soir avec son album photos. On se dit que les producteurs ont eu raison de l’interrompre, de lui dire d’aller dans les Cévennes. En plus, on n’y comprend rien. À un moment, il montre son film en public et tout le monde dort dans la salle, j’avoue que c’était un peu mon cas ».

Donc, je vais essayer de m’exprimer sans passer pour une « hystérique », mais clairement, il a dit, je reprends pour vous remettre dans le contexte, que le meilleur film qu’il est fait c’est sa bande annonce de 2 mn. Passons ce sarcasme, il enchaine avec son fameux « je ne sais pas s’il a repris son traitement … mais il faut changer le dosage, mais çà ne va pas du tout, il doit porter plainte contre son médecin ». D’où on peut se permettre de dire cela, Charlotte Lipinska défend bec et ongles le film, explique que c’est un hommage à toutes les personnes qui ont cru en Gondry, reprend les erreurs de lieu, bref sauve l’honneur de notre pauvre réalisateur trainé dans la boue. J’ose espérer qu’il n’ait jamais entendu, ni lu, ces lignes indignes de son film, qui ne demande qu’à prôner la tolérance, le soutien, le remerciement, et souvent la honte de vivre cette vie bousculée par un cerveau qui n’en fait qu’à sa tête et qu’il essaie de dompter ou du moins d’informer que ce n’est pas « facile », le mot est faible, tous les jours.

Ce joli film, monté avec tant de poésie, car ne l’oublions pas derrière ces idées il y a beaucoup de poésie sur le monde, la vie, reste une petite pépite à découvrir si vous voulez connaitre le cerveau d’un bipolaire. Regardez-le en connaissance de cause et portez attention à ces détails futiles pour vous habituellement, pour réaliser l’impact dans la vie d’un bipolaire. La poésie d’un bipolaire est une vision erronée de la réalité qui peut lui apporter beaucoup de douceur ou à l’inverse sa décadence. Pour un bipolaire il n’y a pas de ou, les deux existent et il faut survivre aux deux phases.

Et parfois, il n’y a pas de solutions, vivre avec, accepter le traitement même s’il ralentit les idées, le changer, le doser, même si c’est moins fun, mais essayer de vivre, car il faut le rappeler le trouble bipolaire augmente le risque de suicide et ce n’est pas marrant, avec ou sans traitement Monsieur Neuhoff.

Bref, merci Monsieur Gondry d’avoir osé réaliser ce film, bravo au choix de vos acteurs, et pour la première fois je n’ai pas pleuré devant un film sur la bipolarité. Vous avez tout expliqué avec clarté, sans chichis, d’une transparence à toute épreuve. Mais, peut-être que vous avez réussi à mettre en scène ce que je n’arrive pas à faire comprendre aux autres, à exprimer dans la réalité, à structurer d’une manière ou d’une autre, peut-être parce que j’ai vécu une phase maniaque on se comprend, merci Monsieur. Prenez soin de vous, et je vais aller découvrir vos autres films, en espérant que vous reviendrez plus fort de cette expérience, sans tenir compte des mauvaises langues, ne les écoutez pas, écoutez les autres, ceux qui sont de bons conseils 😉

Notre force, nos idées et les personnes qui nous aident à les réaliser à la limite de l’impossible.

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